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Il y a presque deux semaines, je suis allée au cirque. Je suis allée au cirque quelques jours après le catastrophique 14 novembre de Paris. J'y suis allée comme chaque année, car déjà moi puis mon frère maintenant jouons dans une fanfare locale, qui un soir par an joue avant que le spectacle commence.
Déjà, il faut dire, en novembre en Suisse il fait froid. L'attente en dehors de la grande tente colorée n'est pas si plaisante. Mes quelques heures de sommeil récupéré depuis mon retour d'Asie n'étaient pas suffisantes pour m'engager dans une soirée pareille. Mais j'y suis allée quand même, par habitude, par curiosité, mais surtout par envie de voir autre chose que des terribles nouvelles à la télévision, sur mon mur Facebook et partout sur internet.
Je me suis assise très lourdement, fatiguée après mon long voyage, stressée pour le départ vers ma nouvelle aventure en Allemagne, très triste pour les événements parisiens et en effet très déçue par l'humanité en général. Pas une très belle atmosphère pour une soirée au cirque. Pendant que j'attendais l'arrivée des artiste et des animaux j'ai aussi pensé aux nombreuses polémiques concernant l'utilisation des animaux au cirque, puisque j'ai eu moi-même l'occasion de rencontrer des éléphants sauvages au Cambodge et que normalement ce cirque avait aussi des spectacles avec les éléphants, maintenant interdits.
Eh bien, une fois les lumières se que sont allumées, que les chevaux ont envahis l'arène, que les musiciens ont souligné les mouvements du clown, eh bien, c'était tout un autre monde. Je me suis retrouvée à la sortie deux heures plus tard, ma tête complètement vidée des mauvaises pensées qui y abritaient quelques heures plus tôt, et c'est ainsi que j'ai compris le titre de la tournée 2016.
Le cirque, c'est "Phénoménal", car même à l'ère technologique il réussit dans son but le plus ancien, celui de créer une petite bulle magique dans laquelle enfermer son public qui pour quelques heures oublie complètement les problèmes de la vie, la douleur quotidienne et le désespoir rampant. Ca fait du bien quoi.
Déjà, il faut dire, en novembre en Suisse il fait froid. L'attente en dehors de la grande tente colorée n'est pas si plaisante. Mes quelques heures de sommeil récupéré depuis mon retour d'Asie n'étaient pas suffisantes pour m'engager dans une soirée pareille. Mais j'y suis allée quand même, par habitude, par curiosité, mais surtout par envie de voir autre chose que des terribles nouvelles à la télévision, sur mon mur Facebook et partout sur internet.
Je me suis assise très lourdement, fatiguée après mon long voyage, stressée pour le départ vers ma nouvelle aventure en Allemagne, très triste pour les événements parisiens et en effet très déçue par l'humanité en général. Pas une très belle atmosphère pour une soirée au cirque. Pendant que j'attendais l'arrivée des artiste et des animaux j'ai aussi pensé aux nombreuses polémiques concernant l'utilisation des animaux au cirque, puisque j'ai eu moi-même l'occasion de rencontrer des éléphants sauvages au Cambodge et que normalement ce cirque avait aussi des spectacles avec les éléphants, maintenant interdits.
Eh bien, une fois les lumières se que sont allumées, que les chevaux ont envahis l'arène, que les musiciens ont souligné les mouvements du clown, eh bien, c'était tout un autre monde. Je me suis retrouvée à la sortie deux heures plus tard, ma tête complètement vidée des mauvaises pensées qui y abritaient quelques heures plus tôt, et c'est ainsi que j'ai compris le titre de la tournée 2016.
Le cirque, c'est "Phénoménal", car même à l'ère technologique il réussit dans son but le plus ancien, celui de créer une petite bulle magique dans laquelle enfermer son public qui pour quelques heures oublie complètement les problèmes de la vie, la douleur quotidienne et le désespoir rampant. Ca fait du bien quoi.
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